Je me suis mis dans ma position familière, à quatre pattes, complètement nu à l’exception du collier de cuir noir qui orne mon cou et dont les clous métalliques épellent “SA”. Mes fesses nues pointent vers le plafond, ma tête affleure le matelas faisant former à mon corps un angle descendant face à la tête de lit. Mes jambes sont espacées au maximum, mes couilles pendent lourdement sous ma légère bedaine. Ma queue, modestement gantée, pend également. Je suis maintenant ouvert à son inspection.

J’entends la porte s’ouvrir lentement en grinçant, annonçant son entrée dans la chambre. Je me mets au garde-à-vous, le cœur palpitant et la sueur perlant sur mon front. Mon empressement me fait perdre la tête.

Ma dominatrice arrive sur moi par l’arrière avec des pas tortueusement mesurés qui marquent son indéniable féminité séduisante, tout comme un ange silencieux en mission : furtivement, confiante, déterminée.

Elle confirme ma petite position par rapport à la sienne en frappant, puis en frottant doucement, ses mains de chaque côté de mes fesses et en étirant mes fesses en grand. Cela permet d’exposer ma longue fente et mon trou du cul sombre, qui est toujours disponible pour son usage exclusif et gratuit. Elle ne dit rien, juste un “hm hmmm”, qui signifie son approbation tacite.

Elle place sa main sur le côté de sa bouche et me chuchote doucement un secret à l’oreille : “Bébé, tu es mon petit jouet ce soir. Je vais te baiser jusqu’à la moelle. Je ne te le demande pas, je te le dis ! Je vais enfoncer ma grosse bite en caoutchouc dans ton gros trou jusqu’à ce que je fasse couler du jus de chatte sur tout ton corps sexy. Tu vas couiner de plaisir quand je verrai sa tête entrer et sortir de ta petite chatte de garçon !”

Je détecte alors un léger frisson de sa part qui trahit momentanément sa domination sur moi, son esclave d’amour personnel. Je soupire à l’idée de me faire violer. Mon trou du cul impatient a des spasmes et je veux qu’elle soit en moi tout de suite !

J’implore désespérément ma superbe beauté aux cheveux cuivrés : “Maitresse, prends-moi tout de suite, je ne veux plus attendre”, dis-je dans une stupeur remplie de désir, interrompant distraitement ma déférence à son égard.

Sa Majesté la célèbre se moque, “Excuse-moi ? C’est moi qui te dis ce que je veux, et tu le fais quand je le dis. Dis ‘oui’ à ça, mon beau cul de salope !” Comme je ne réponds pas assez vite à son goût, elle dit : “OUI ?” et me gifle la fesse, plus fort cette fois.

J’émets faiblement un “glapissement” et elle se contente de glousser en se délectant de sa supériorité.

Commence alors une litanie tortueuse de taquineries. D’abord, ses doigts glissent très lentement sur l’intérieur de mes jambes, en remontant vers mon ample derrière. La chair de poule monte au fur et à mesure de sa progression. Elle marque une pause temporaire avant de frapper mes fesses une fois de plus pour affirmer que c’est elle qui commande. Je sursaute à l’idée de ce qui pourrait arriver, en espérant que ce soit moi.

En continuant, je sens sa paume glisser puis s’enrouler délicatement autour du dessous de mon sac suspendu et ne caresse que du bout des doigts, de l’arrière vers l’avant. Je soupire lourdement à cette sensation.

Elle accentue ensuite mon tourment en faisant glisser ses deux mains le long des côtés de mon scrotum, là où il rejoint la terre ferme, en faisant à peine contact. Là aussi, elle me donne un sérieux coup de fouet et j’incline la tête en signe d’extase.

Je halète : “Mihhhhsss…”

Ma bite commence à gonfler, je peux sentir l’afflux de sang qui l’inonde rapidement juste après avoir entouré la périphérie de mes testicules d’un bain chaud de nirvana. C’est déjà trop et ça ne fait que commencer.

Elle demande : “Ça t’a plu ?” en guise de déclaration.

Je la sens tirer doucement mon chibre vers l’arrière et faire glisser mon chapeau de champignon le long de la fente. Elle sait à quel point j’ai envie de ça, et une fois de plus, j’exprime mon plaisir sans mot dire.

“Mmm c’est tellement bon.”

Elle donne brusquement un léger coup à ma queue qui se raidit en aboyant : “Dis quelque chose !”.

“C’est vraiment bon. Encore, s’il te plaît”, réponds-je docilement.

Elle me réprimande : “Il n’y a que ma grosse salope au cul solide comme toi pour supplier qu’on lui fasse un coup de main à l’envers. Eh bien, cela n’arrivera pas. Par contre, je vais te frotter jusqu’à ce que ça te fasse très mal. Ensuite, ce sera MON tour.”

Elle met sa menace à exécution et me secoue jusqu’à ce que je sois presque douloureusement dur. Je me penche alors vers l’arrière et j’attrape l’appendice qu’elle a inventé. C’est comme un missile tellement il est rigide. Elle ronronne sous l’effet de ma prise et de la pression que je fais délibérément sur la base de son sexe. Elle commence à se balancer doucement dans ma main, sa manche de bite momentanée.

Elle repousse ma main avec autorité, se penche en avant et lèche de ma chatte jusqu’au sommet de ma fente fessière, sa langue chaude me rendant fou. Elle pince ma fesse gauche et s’arrête pour contempler le “jouet” qu’elle a devant elle et qui est complètement à sa merci. J’entends, puis je sens de la salive être expulsée sur ma fente juste avant qu’elle n’enfonce ses dents dans ma fesse droite charnue, et je gémis de plaisir.

Alors que je la sollicite pour qu’elle me morde davantage, elle déclare : “Je vais m’amuser à démolir ce joli cul doux et serré”

Puis elle enfonce à nouveau ses dents dans ma chair et se déchaîne avec jubilation.

Je lui réponds en chœur : “S’il te plaît ! Aie pitié d’un portail aussi vulnérable que le mien”.

“Le temps des discussions est terminé, mon homme, car je suis sur le point de fendre ce cul en deux”.

Je résiste à l’envie de lui faire remarquer qu’il est déjà fendu, de peur d’encourir son ire et d’être en pleures des conséquences.

Je sens qu’elle aligne le gland du pénis en caoutchouc contre mon étoile en attente, qu’elle l’enfonce et qu’elle l’enfonce sans ménagement. Je sursaute de surprise et baisse la tête. L’extase provoquée par cette intrusion énergique n’est qu’amplifiée par le contact de ses cuisses avant sur l’arrière des miennes. La chaleur générée par le frottement de son membre envahissant fait frissonner ma tête dans un autre monde. J’adore la sensation de sa gode-ceinture et le son de ses grognements lorsqu’elle fait vibrer son clito naissant contre le harnais. Je suis en train d’être rudoyé par la plus belle des femmes aux courbes arrondies qui domine mon cul, son objet de jeu.

Je regarde son visage et constate qu’elle transpire à grosses gouttes. Ma peau est brûlante et je transpire moi aussi, mais la transpiration est due au plaisir et non à l’effort. Je me fais chevaucher vite et fort et j’adore ça.

“Ce putain de trou du cul est toujours aussi serré après toutes les fois où je l’ai ravagé. Serre ce cul chaud autour de ma bite comme un bon mari anal docile.”

“Putain oui, ma maîtresse. Je vais la serrer si fort qu’elle restera coincée. Baise-moi plus fort pour que ça n’arrive pas.”

Sur la queue, son pompage s’accélère à un rythme vertigineux. Ses rebonds contre ma chair doivent donner à son clito une bosse glorieuse. Je parie qu’il est au garde-à-vous maintenant. J’écrase mon visage sur le matelas en gémissant. Je la sens sourire triomphalement.

Elle est pratiquement debout lorsqu’elle pose ses fesses dodues sur le bas de mon dos, comme si elle avait trouvé le perchoir qui lui était destiné. Son mouvement se transforme en une action de pivotement des hanches, de haut en bas et tout autour, couvrant tous les angles – certains électrisants, d’autres atroces. D’une manière ou d’une autre, cela me pousse vers l’éruption imminente.

Elle s’installe dans un balancement rythmique. Le rythme de ses poussées augmente et je n’arrive pas à placer mes fesses assez haut, alors je sublime davantage mon visage vers le bas en appuyant si fort qu’il forme une bosse dans les draps. C’est alors qu’une nouvelle idée me vient à l’esprit : et si je tendais mes bras vers l’arrière et que j’attrapais SON cul ? Ne serait-ce pas un acte de récalcitrance ? Je me surprends à le faire avec intrépidité. Elle est surprise par ma prise sur ses joues et j’en profite pour les écarter.

“Tu pensais pouvoir me retourner la situation si facilement ?” J’entends d’abord, puis je sens, une forte claque disciplinaire sur mes joues. La piqûre brûlante me prend au dépourvu.

Je relâche ma prise sur ses fesses. Elle prend l’avantage en rapprochant ses genoux des miens. Cela lui permet d’amplifier ses mouvements de pillage jusqu’à les rendre presque verticaux. Je lève le cou, rivé à l’image d’une vue arrière en miroir. Je suis stupéfaite de voir son derrière bodybuildé rebondir contre le mien. Je peux voir le mouvement de balancier de ses seins parfaitement ronds. Ses fesses continuent de s’écraser contre les miennes. La pointe de la flèche de ma bite se balance librement en synchronisation avec ses poussées, comme une aiguille de boussole folle. J’entrevois à peine la tige de sa fille qui s’enfonce dans le sol alors que mon anneau anal s’y accroche sérieusement, ne voulant pas le lâcher.

Alors que notre respiration s’accélère et s’amenuise, elle écarte davantage ses genoux pour mieux s’appuyer sur mon cul, à tel point que je peux maintenant voir sa chatte détrempée et hérissée. Son trou du cul en forme de fente s’ouvre et se referme à chaque collision. Je ne peux pas tenir plus longtemps, mais me libérer avant elle constituerait l’impardonnable, alors je serre les dents pour repousser l’inévitable.

“Je ne peux pas m’empêcher de jouir…” Je pousse un soupir avec une grimace douloureuse.

Ses jambes ouvertes resserrent les miennes l’une contre l’autre, de sorte que ma bite et mes couilles sont comprimées au-delà de mon arrière-train. J’ai presque l’impression qu’elles se détachent de mon corps.

“J’écrase ton gros cul et je le baise avec ma bite. Dis que tu aimes ça !”

“J’adore. S’il te plaît, baise-le plus fort pour qu’il me chatouille au plus profond de mon canal”, m’exaspère-je.

Elle hurle dans son propre précipice : “Putain ! Ça vient, bébé. Ahhh…”, et elle penche son visage vers le plafond en extase, puis s’affale sur mon dos, épuisée, “Putain, bébé, ton popotin est une vraie maison de plaisir.”

Je sens ses tétons tendus et pointus comme des rasoirs s’enfoncer dans le haut de mon dos comme des punaises. Elle doit le sentir aussi parce qu’elle est en train de pincer, de tirer et de faire tourner mes tétons de nichons d’homme. Elle prend un autre morceau de ma peau avec ses sabres dentaires. J’expire lentement, résolue, tandis qu’elle me serre.

Sans crier gare, je me retrouve la tête en bas. Je suis trop surpris pour opposer une quelconque résistance, mais je reste dur comme un diamant. Elle est sur ses fesses, face à moi, et pousse mes jambes vers le ciel et sur ses épaules pour les écarter encore plus. Je sais ce qui m’attend et c’est exactement ce dont j’ai besoin.

“Tu vas jouir beaucoup, sur mes seins ?” Je me contente de hocher la tête, les yeux fermés et la bouche bée, “puis tu nettoieras ce bordel et tu me feras couler un bain moussant, après.”

Je ne suis pas en position de refuser et je pose ma tête en fixant le plafond. Elle saisit ma tige d’une main et la secoue lentement de haut en bas, en évitant délibérément la tête hyper sensibilisée. Elle me rend fou de désir. Le bout de ma bite est cramoisi et furieusement évasé. C’est le moment ! Avec un sourire sournois, elle accélère le rythme, ne faisant qu’effleurer de temps en temps la pointe sensibilisée. Puis, alors que je suis sur le point d’éclater, elle pistonne furieusement sa main de haut en bas.

“C’est ça !, pompe-le bébé”, gémis-je à bout de souffle.

J’essaie en vain de me retenir mais c’est inutile et je cède à la pression grandissante. Un geyser de sperme jaillit du trou d’épingle de mon cocj et éclabousse vilainement ses seins comme un tsunami. Le sperme qui ne tient pas sur sa poitrine rebondit sur mon torse.

J’expire enfin et reste momentanément prostré sur le sol. Elle interrompt mon repos en me tapant doucement sur les pieds et je roule sur le côté pour me mettre debout. Ce faisant, mon bâton d’amour ratatiné laisse échapper quelques gouttes. Elle en sourit et me montre sa propre féminité trempée.

Je passe rapidement dans la salle de bains, j’essuie mes couilles et ma bite avec le même chiffon humide qu’elle utilise pour se nettoyer pendant la douche. Je ne peux pas résister à une bouffée d’air. Son arôme est un aphrodisiaque indéniable. Je le replace sur l’étagère de la douche, je bouche l’évacuation de la baignoire, je saupoudre de sels de lavande et je fais couler de l’eau tiède. Je me remémore déjà avec émotion notre incroyable séance d’amour et ne peux m’empêcher de sourire.

J’aiguise un nouveau chiffon et l’apporte dans la chambre pour nettoyer mon amour. Je lui tends la main pour qu’elle se lève et quitte notre lit conjugal. Elle se balance de façon suggestive vers les toilettes en arborant un sourire caché. Je sens déjà cette agitation familière dans mes reins. Elle s’immerge dans l’eau mousseuse du bain et met sa tête en arrière pour que je la shampouine.

Je l’aborde par l’arrière avec impatience, révérence, détermination, dans mon amour pour toi.

ELLE est ma chose préférée.

Préférence de la coquine : sodomie
Endroit de préférence pour le sexe : le matin au reveil
Le langage cru et les discussions érotiques me rendent toute chose. On peut en discuter si vous voulez…